Un siècle, Vie et mort de
Galia Libertad
Théâtre / Jeudi 4 et vendredi 5 avril 20h  / Le Foirail
2H15 / TARIF A

Un siècle est une fresque théâtrale qui raconte les derniers instants de Galia Libertad, matriarche puissante et explosive dont le destin épouse toute l’histoire du XXe siècle. Un siècle, Vie et mort de Galia Libertad (2022) est une comédie légère et grave à la fois, tissée de vies humaines. La metteuse en scène et autrice Carole Thibaut s’intéresse ici aux remous de l’histoire, à la manière dont ils influent sur nos destinées à travers les générations. S’inspirant de rencontres avec les gens et des territoires sur lesquels elle travaille, elle tire un fil continu entre le réel et le poétique, l’intime et le politique. Trois jours et trois nuits durant, un petit groupe d’humains se réunit autour de Galia Libertad, grand-mère, mère ou amante, pour lui faire ses adieux. On dresse les tables sous un vaste feuillage. Au fil des conversations, des anecdotes anciennes resurgissent, de vieilles blessures aussi. Dans le jardin chatoyant qui accueille cette galerie de neuf personnages, la frontière entre le monde des morts et le monde des vivants se trouble. Le temps se met à flotter. Avec cette saga qui allie l’intime à l’Histoire, Carole Thibaut nous offre un théâtre palpitant de vie.

Texte et mise en scène Carole Thibaut — Assistanat à la mise en scène Marie Demesy — Scénographie Camille Allain-Dulondel — Costumes Malaury Flamand — Lumières Yoann Tivoli — Son Margaux Robin — Vidéo Léo Derre — Musique inspirée du répertoire traditionnel auvergnat Romain « Wilton » Maurel — Avec Monique Brun, Antoine Caubet, Jean- Jacques Mielczarek, Olivier Perrier, Mohamed Rouabhi, Valérie Schwarcz et La Jeune Troupe des Îlets #2 : Hugo Anguenot, Chloé Bouiller et Louise Héritier — A l’image et/ou en voix Claire Angenot, David Damar-Chrétien, Carole Thibaut, Marie Vialle — Construction décor Sébastien Debonnet, Jérôme Sautereau, Stéphanie Manchon, Séverine Yvernault — Régie générale et participation à la conception décor Frédéric Godignon et Pascal Gelmi — Régie lumière Guilhèm Barral, Florent Klein — Régie son Pascal Gelmi — Régie plateau Léo Laforêt — Régie vidéo Thibaut Cherdo — Recherche accessoires Laurent Lureault — Stagiaires Leslie Bouchou-Carmine, Léa Peguy, Constance de Saint-Rémy — Carole Thibaut est directrice du Théâtre des Îlets - Centre dramatique national de Montluçon. — Crédit photo Héloïse Faure
PRODUCTION

Production théâtre des Îlets – CDN de Montluçon, Région – Auvergne-Rhône-Alpes // Coproduction maisondelaculture de Bourges – SN Avec la participation artistique de l’Ensatt (Lyon) Création au théâtre des Îlets le 19 janvier 2022

Un siècle est une fresque théâtrale qui raconte les derniers instants de Galia Libertad, matriarche puissante et explosive dont le destin épouse toute l’histoire du XXe siècle. Un siècle, Vie et mort de Galia Libertad (2022) est une comédie légère et grave à la fois, tissée de vies humaines. La metteuse en scène et autrice Carole Thibaut s’intéresse ici aux remous de l’histoire, à la manière dont ils influent sur nos destinées à travers les générations. S’inspirant de rencontres avec les gens et des territoires sur lesquels elle travaille, elle tire un fil continu entre le réel et le poétique, l’intime et le politique. Trois jours et trois nuits durant, un petit groupe d’humains se réunit autour de Galia Libertad, grand-mère, mère ou amante, pour lui faire ses adieux. On dresse les tables sous un vaste feuillage. Au fil des conversations, des anecdotes anciennes resurgissent, de vieilles blessures aussi. Dans le jardin chatoyant qui accueille cette galerie de neuf personnages, la frontière entre le monde des morts et le monde des vivants se trouble. Le temps se met à flotter. Avec cette saga qui allie l’intime à l’Histoire, Carole Thibaut nous offre un théâtre palpitant de vie.

DISTRIBUTION

Texte et mise en scène Carole Thibaut — Assistanat à la mise en scène Marie Demesy — Scénographie Camille Allain-Dulondel — Costumes Malaury Flamand — Lumières Yoann Tivoli — Son Margaux Robin — Vidéo Léo Derre — Musique inspirée du répertoire traditionnel auvergnat Romain « Wilton » Maurel — Avec Monique Brun, Antoine Caubet, Jean- Jacques Mielczarek, Olivier Perrier, Mohamed Rouabhi, Valérie Schwarcz et La Jeune Troupe des Îlets #2 : Hugo Anguenot, Chloé Bouiller et Louise Héritier — A l’image et/ou en voix Claire Angenot, David Damar-Chrétien, Carole Thibaut, Marie Vialle — Construction décor Sébastien Debonnet, Jérôme Sautereau, Stéphanie Manchon, Séverine Yvernault — Régie générale et participation à la conception décor Frédéric Godignon et Pascal Gelmi — Régie lumière Guilhèm Barral, Florent Klein — Régie son Pascal Gelmi — Régie plateau Léo Laforêt — Régie vidéo Thibaut Cherdo — Recherche accessoires Laurent Lureault — Stagiaires Leslie Bouchou-Carmine, Léa Peguy, Constance de Saint-Rémy — Carole Thibaut est directrice du Théâtre des Îlets - Centre dramatique national de Montluçon. — Crédit photo Héloïse Faure

 
RENDEZ-VOUS
Visite commentée du plateau
Vendredi 05 avril 18h
Le Foirail

En compagnie d’un.e régisseur.se de la compagnie, venez découvrir de plus près les décors et accessoires de la pièce, poser toutes les questions sur les petites ficelles de la régie et percer à jour les secrets de la machinerie. Ces courtes visites commentées sont une entrée en matière inédite dans l’œuvre pour une découverte qui se prépare du côté des coulisses !

Lecture
À plates coutures
Mercredi 03 avril 18h30
Café municipal de Coarraze

Vous souvenez-vous du combat exemplaire des ouvrières de Lejaby, cette entreprise de sous-vêtements qui a déposé le bilan en 2012 ? L’autrice et metteuse en scène Carole Thibaut a récolté leurs paroles pour écrire sa pièce à plates coutures qu’elle donne en lecture. Quatre voix féminines racontent leurs moments de joie et de complicité, leur quotidien, entre enfants, mari et usine. Pas de misérabilisme, de pathos ou de regard défaitiste. On lutte. On vit tout simplement.

Entrée libre
En partenariat avec le Service culturel de la Communauté de Communes du Pays de Nay.

 

Carole Thibaut
Autrice, metteuse en scène, comédienne, Carole Thibaut dirige depuis 2016 le théâtre des Îlets – CDN de Montluçon – région Auvergne-Rhône-Alpes, où elle vit désormais. Elle a œuvré avec sa compagnie (la Compagnie Sambre) pendant plus de vingt ans en Île-de-France, menant un important travail artistique dans les quartiers et cités du Nord Val d’Oise (Villiers le bel, Fosses, Sarcelles, Garges...), artiste associée à l’Espace Germinal – scène de l’Est Valdoisien (Fosses) de 2001 à 2007, directrice du théâtre de Saint-Gratien (95) dès sa sortie de l’Ensatt, de 1996 à 2001, directrice artistique de Confluences, lieu artistique engagé (Paris 20e) de 2012 à 2015, artiste associée en 2014/2015 au Théâtre du Nord – CDN de Lille ainsi qu’à l’Hexagone, Scène Nationale de Meylan, elle a développé des partenariats étroits autant avec des structures sociales, éducatives, associatives, des centres culturels et théâtres municipaux, des festivals, qu’avec des lieux institutionnels comme la scène nationale du Carreau à Forbach ou L’Hexagone à Meylan. S’inspirant du monde contemporain, des rencontres avec les gens et les territoires sur lesquels elle travaille, elle tire un fil continu entre le réel et le poétique, l’intime et le politique, et explore les formes les plus diverses d’écritures et de créations scéniques, alternant le théâtre épique, les pièces intimes, des performances, des installations numériques, ... Artiste engagée, elle milite pour l’égalité des femmes et des hommes, elle a été membre fondatrice de HF Île-de-France ainsi que du Synavi où elle a milité pendant plusieurs années pour la défense des structures indépendantes de création avant de rejoindre le Syndéac. Elle a été vice-présidente de l’ACDN, association des centres dramatiques nationaux (2017/19). Elle est régulièrement accueillie en résidences d’écriture à La Chartreuse – Villeneuve lez Avignon, a reçu de nombreux prix et bourses (Prix Jeune Talent SACD, Prix de Guérande, Prix des Journées de Lyon, bourses du Centre National du Théâtre, Beaumarchais, Centre National du Livre...), et est chevalière des Arts et Lettres. Ses textes sont publiés chez Lansman éditeur ainsi qu’à L’École des Loisirs. En 2020 elle recrée sa pièce Faut-il laisser les vieux pères manger seuls au comptoir des bars, qui signe le retour sur scène d’Olivier Perrier, qu’elle retrouve en 2022 pour la création de Un siècle – Vie et mort de Galia Libertad avec 8 autres complices acteur·trices pour qui elle écrit et met en scène cette pièce fleuve, en tournée actuellement. Parallèlement elle continue à présenter sa conférence performée Longwy-Texas (créée en 2016), à tourner Occident de Rémi De Vos qu’elle a co-mis en scène et qu’elle co-interprète depuis 10 ans avec son complice Jacques Descorde. Elle est actuellement en travail sur trois prochaines créations : un solo performance autour de la question du genre et du pouvoir et Mon père cet arabe de et avec Linda Chaïb, qui verront le jour à l’automne 2023, ainsi que Long Développement pour un bref entretien de Magne Van Den Berg traduit par Esther Gouarné (création 2024).

Neuf vies traversées par Un siècle
Carole Thibaut travaille sur le projet depuis « pratiquement [son] arrivée » à la tête du Théâtre des Ilets en 2016. « C’était d’ailleurs dans mon dossier de candidature » à la direction du centre dramatique national de Montluçon. Un siècle, sa nouvelle création jouée la semaine prochaine, du 19 au 22 janvier, est l’aboutissement de ces années de recherches sur « l’histoire de Montluçon, de Hérisson, des usines ». « C’est une femme qui déborde de vie, à la sexualité gargantuesque. Aussi une figure maternelle dévorante » Elle se présente sous la forme d’une grande fresque familiale comme la littérature en a accouché d’illustres. Le pivot est Galia Libertad, fruit de l’amour d’une juive polonaise et d’un anarchiste espagnol. Le résultat est une matriarche explosive. « C’est une femme qui déborde de vie, à la sexualité gargantuesque, qui a aimé des hommes, n’a jamais voulu se marier, est une grande résiliente. C’est aussi une figure maternelle dévorante ». Autour de laquelle trois générations se réunissent pendant deux jours et une nuit. « C’est une famille recomposée, avec des liens d’amour, de tendresse », au-delà du sang, qui vit les derniers moments de Galia. Elle est en train de mourir. Cet état favorise le souvenir. Il est prétexte à des allers retours dans les histoires qui ont construit les personnages. Ils sont neuf sur scène, guidés et malmenés par La Voix, celle de Carole Thibaut. Le son et la vidéo couvent le plateau, rehaussé d’une énorme branche d’arbre. On décortique « le rapport symbolique à l’Histoire, à la mémoire, au vivant ». On évoque l’Holocauste, la Guerre d’Algérie, les mouvements ouvriers et sociaux. Le féminisme du MLF (Mouvement de libérations des femmes) et les revendications actuelles LGBTQI2SA + (*). « Tous ces personnages sont traversés dans leur construction et leur identité par les petites histoires qui font la grande Histoire. Ça crée des destinées dont on n’a pas forcément conscience. Je les ai écrits pour les acteurs avec lesquels je travaille, des compagnons artistiques et, pour beaucoup, des compagnons de ce lieu », pose Carole Thibaut. Le casting est composé d’Olivier Perrier, cofondateur des Fédérés. Monique Brun est Galia Libertard. « Jean-Jacques Mielczarek était régisseur de ce lieu et était chaudronnier au départ. On retrouve Valérie Schwarz et Mohamed Rouabhi, Antoine Caubet et puis la jeune troupe des Ilets », liste Carole Thibaut. Soit Louise Héritier, Hugo Anguenot et Chloé Bouiller. Ils campent des « personnages de fiction, mais qui existent dans le réel. Tout ce qu’on raconte est absolument vrai ». L’autrice, comédienne et metteuse en scène, ancre son récit dans des tragédies locales. La rafle de 143 juifs, le 3 septembre 1942 et parqués dans le camp des Textiles à Prémilhat (l’emplacement du bowling aujourd’hui) en fait partie. Tout comme le massacre de la Carrière des Grises, à Prémilhat, où quarante-deux détenus civils ont été exécutés le 14 août 1944. Voilà pour les contours. Le reste est à découvrir en salle. « Ce sera le haut de l’iceberg. » C’est la vision du théâtre de Carole Thibaut qui tricote pour chacun de ses personnages tout un réseau de faits et traits. Le spectateur n’en voit qu’une infime partie. Comme dans la vie en fait. « Si on veut qu’une pièce existe, il faut qu’on sente que derrière, il y a toute une vie. Sinon, c’est de la 2D. » Nous, on veut du théâtre en 3D.
(*) Lesbiennes Gays Trans Queers Questionning Intersexes, Bispirituels, Androgynes, Asexuels et tous les autres.
La Montagne, Seher Turkmen, 17 janvier 2022.

Galia Libertad n’a jamais vécu, pourtant elle est morte
Avec Un siècle, Carole Thibaut propose de rencontrer plusieurs générations d’une fausse famille traversée par la véritable histoire du monde. Depuis son fauteuil rouge au centre de la scène, sous un arbre accroché comme par magie dans les hauteurs du plateau, Galia Libertad fixe le public de son regard amusé, chaleureux autant qu’aiguisé. Personnage pivot de cette nouvelle création de Carole Thibaut sobrement titrée Un siècle, la vieille femme sait qu’elle est arrivée au bout de son chemin. Et, si elle regrette forcément de devoir malgré elle quitter la vie, elle ne regrette rien, absolument rien de tout ce qu’elle a vécu. Pas de tristesse, de la tendresse, de l’émotion au menu de cette fête. Car c’en est une. Pour ses derniers moments, Galia Libertad, personnage de pure fiction, a invité ses proches, ses anciens amoureux, la famille au sens élargi. « Le pari était de mêler le réel et la fiction si étroitement qu’on ne puisse plus les démêler », explique Carole Thibaut, qui assure aussi la mise en scène. Avec une force, une conviction, une aisance formidables, Monique Brun est cette étonnante Galia plus ou moins clouée sur son siège, dont le récit de vie rythme toute l’aventure. Le spectacle s’est écrit avec comme matériau quatre années de rencontres et d’enquêtes menées à Montluçon, sur l’histoire sociale de la région, le devenir de l’agriculture, de ses industries, le sort des ouvriers, leurs espoirs et leurs combats. Personnage de roman, Galia n’en a pas moins des parents, fictifs mais également inscrits dans le récit réel de l’histoire contemporaine. La mère, juive polonaise, et le père, espagnol, se sont, jeunes gens, réfugiés en France, puis sont morts pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle, arrêtée par la police de Vichy en août 1942 et exterminée à Auschwitz, lui arrêté puis torturé à mort à Montluçon par les nazis. Un siècle est parsemé de ces moments en miroirs. Ainsi Olivier Perrier, qui interprète Pierre (compagnon de Galia, père de Serge, grand-père de Pauline), prend la parole lors de chaque représentation, selon un canevas déjà écrit, pour improviser sur son véritable métier de comédien. Une parenthèse sans en être vraiment une, prévue par l’autrice qui a voulu cerner au plus près « les figures réelles et celles inventées ». Dans ce grand écart, le spectateur peut risquer de s’égarer, mais bien vite il est repris par une main amicale. La force du spectacle est indiscutable. Galia Libertad s’éteint, mais elle revient, poursuit le dialogue avec les siens. Tout ce petit monde, réuni pour trois jours dans cette campagne d’Auvergne où s’invitent un peu de musique et même quelques dégustations locales, est simplement formidablement humain. Il faut citer les autres comédiens, Antoine Caubet, Jean-Jacques Mielczarek, Mohamed Rouabhi, Valérie Schwarcz, ainsi que Hugo Anguenot, Chloé Bouiller et Louise Héritier. Ils représentent trois ou quatre générations, avec leurs travers et leurs passions, leurs conflits ordinaires et leurs secrets, comme dans la vraie vie. La force d’Un siècle, sous-titré « Vie et mort de Galia Libertad », étant bien de tricoter le patchwork de ces existences réelles et supposées pour dessiner avec humanité un formidable et attachant portrait de famille.
L’Humanité, Gérald Rossi, 21 février 2022.

L’écriture se construit à partir de quatre années d’interviews et d’enquêtes autour de l’histoire sociale, politique et culturelle du 20e siècle dans une petite ville du centre de la France... L’histoire de Montluçon est traversée par tous les bouleversements qu’a connus notre civilisation occidentale au cours de ce dernier siècle, passant du monde rural à l’ère industrielle pour aboutir à un présent post-industriel numérique, mondialisé, dirigé par un capitalisme financier déshumanisé, en manque de repères et de projections vers l’avenir. Grandes laissées pour compte des politiques de développement, ces villes moyennes et ces régions représentent pourtant la majorité du territoire national et illustrent l’évolution économique, sociale et culturelle de tout notre pays. Entre ruralité et ère industrielle puis post-industrielle, métairies paysannes et monde ouvrier, l’histoire de ces régions est traversée d’histoires et de figures emblématiques. Ici Jean et Marx Dormoy, Hubertine Auclert, Marguerite Audoux, Christophe Thivrier, les Fédérés, les militants politiques, syndicalistes, résistants, travailleurs immigré·e·s, ouvriers, paysans en luttes, artistes installés sur les territoires ruraux, ont dessiné une histoire puissante, qu’on retrouve en filigrane dans les destinées des personnages de la pièce. Il ne s’agit pas ici de faire une fresque historique, mais de tenter d’aller observer ce que l’histoire et ses mouvements font à l’humain, comment ils influent, à travers le temps et les générations, nos destinées et nos choix les plus intimes. Il s’agit de mettre en scène cette histoire dans ce qu’elle a de plus vivant et de plus présent, et dans ce qu’elle dessine déjà de l’avenir. Il s’agit d’en observer les effets et les échos dans les destinées d’un petit groupe d’humains. Il s’agit de tenter de saisir l’impact vivant de l’histoire sur nos vies.
Carole Thibaut

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ART ET CRÉATION DANSE