a time to mourn
Iris Karayan cherche, dans ce duo de femmes, la dualité entre l’homme et l’animal, entre le bien et le mal, entre « mon » territoire et celui des autres. Tout ce que l’on porte en soi de façon archétypale. Le conflit schyzophrénique se répète de façon cyclique. Les danseuses, chevelure au sol, ne montrent jamais leur regard. La répétition du mouvement finit par introduire des variations qui ouvrent à de nouvelles réalités également cycliques. Et quand les danseuses se retrouvent finalement debout, c’est le corps et le visage, maculés de terre, que l’on verra apparaître. Un duo qui explore la condition de la violence dans les sociétés contemporaines ; la violence qui se transforme en chagrin, le pouvoir en faiblesse et l’humain en animal...
Y’a trop de bruit pour que je puisse t’aimer.
Dans ce solo créé au Théâtre Saragosse, Carole Vergne aborde les rapports amoureux sous l’angle de la relation paradoxale à deux. Une relation ambiguë faite de contraires et de contraintes. Et le paradoxe est total quand la danse est interprétée en solo pour suggérer la dualité. Il faudra donc que la danseuse cherche, seule, les matériaux contradictoires du plaisir et du désir, dans les oppositions des postures et les contraintes de l’espace qui obligent la danse à inventer des mouvements en résistance permanente. Le déséquilibre, le renversement, la torsion, l’échappée. Le vocabulaire est original et la danse est sensuelle et tonique.
Découvertes chorégraphiques
Théâtre Saragosse
Durée 1H30
Tarif C
a time to mourn
Iris Karayan cherche, dans ce duo de femmes, la dualité entre l’homme et l’animal, entre le bien et le mal, entre « mon » territoire et celui des autres. Tout ce que l’on porte en soi de façon archétypale. Le conflit schyzophrénique se répète de façon cyclique. Les danseuses, chevelure au sol, ne montrent jamais leur regard. La répétition du mouvement finit par introduire des variations qui ouvrent à de nouvelles réalités également cycliques. Et quand les danseuses se retrouvent finalement debout, c’est le corps et le visage, maculés de terre, que l’on verra apparaître. Un duo qui explore la condition de la violence dans les sociétés contemporaines ; la violence qui se transforme en chagrin, le pouvoir en faiblesse et l’humain en animal...
Y’a trop de bruit pour que je puisse t’aimer.
Dans ce solo créé au Théâtre Saragosse, Carole Vergne aborde les rapports amoureux sous l’angle de la relation paradoxale à deux. Une relation ambiguë faite de contraires et de contraintes. Et le paradoxe est total quand la danse est interprétée en solo pour suggérer la dualité. Il faudra donc que la danseuse cherche, seule, les matériaux contradictoires du plaisir et du désir, dans les oppositions des postures et les contraintes de l’espace qui obligent la danse à inventer des mouvements en résistance permanente. Le déséquilibre, le renversement, la torsion, l’échappée. Le vocabulaire est original et la danse est sensuelle et tonique.