Le travail de Thomas Hauert et de
sa compagnie ZOO se développe
d’abord à partir d’une recherche sur
le mouvement, avec un intérêt particulier
pour une écriture basée sur
l’improvisation et explorant la tension
entre liberté et contrainte, individu
et groupe, ordre et désordre, forme
et informe.
« Danse et musique, une association
classique, première même… On pourrait
penser qu’il s’agit d’une chorégraphie
écrite sur de la musique. Et cependant,
le processus de création du mouvement
s’avère ici radicalement différent.
Il s’agit d’un processus “démocratique“,
basé sur la liberté individuelle
et l’attention permanente à l’autre.
Un processus qui vise à obtenir une
complexité chorégraphique dépassant
celle d’une pièce écrite. Thomas Hauert
fait le pari de l’intelligence intuitive
du corps et du groupe. »
DENIS LAURENT, CIE ZOO
Le travail de Thomas Hauert et de
sa compagnie ZOO se développe
d’abord à partir d’une recherche sur
le mouvement, avec un intérêt particulier
pour une écriture basée sur
l’improvisation et explorant la tension
entre liberté et contrainte, individu
et groupe, ordre et désordre, forme
et informe.
« Danse et musique, une association
classique, première même… On pourrait
penser qu’il s’agit d’une chorégraphie
écrite sur de la musique. Et cependant,
le processus de création du mouvement
s’avère ici radicalement différent.
Il s’agit d’un processus “démocratique“,
basé sur la liberté individuelle
et l’attention permanente à l’autre.
Un processus qui vise à obtenir une
complexité chorégraphique dépassant
celle d’une pièce écrite. Thomas Hauert
fait le pari de l’intelligence intuitive
du corps et du groupe. »
DENIS LAURENT, CIE ZOO
En l’espace d’une décennie, Thomas Hauert et sa compagnie bruxelloise
ZOO ont imposé une voix originale sur les scènes belges et internationales.
Dans Accords, les danseurs se greffent sur des pièces musicales
de Bach, Rachmaninov, Satie ou Ravel, pour rendre la musique « visible »
par un réseau complexe d’actions et de réactions. Les dynamiques,
les harmonies, les mélodies, les contrepoints, mais aussi l’expérience
sensuelle de l’interprétation musicale, sont traduits, amplifiés ou
détournés dans les corps. Le processus de création du mouvement —
entièrement improvisé — est basé sur la liberté individuelle et l’attention
permanente à l’autre.
« Ici, la danse dialogue sans relâche avec la musique, et le silence des
spectateurs entre chaque acte exprime le désir de voir, encore et encore,
un autre mouvement, une autre proposition. C’est une danse qui dit le désir
du groupe, du collectif en laissant chaque individualité s’exprimer au grand
jour, sans retenue. Une danse qui dit le désir du corps comme dernier
rempart contre les interdits. Une danse libre, savante et populaire où rien
ne sépare les danseurs, où tout les unit dans cette quête utopique d’autres
chants du possible. » MARIE-JOSÉ SIRACH
{{Cie ZOO}}
_ Concept et mise en scène {{Thomas Hauert}}
_ Danse originellement créée par {{Thomas Hauert,
Martin Kilvady, Sara Ludi, Chrysa Parkinson,
Zoë Poluch, Mat Voorter et Samantha van Wissen}}
_ Danse créée et présentée par {{Thomas Hauert,
Liz Kinoshita, Sarah Ludi, Zoë Poluch,
Albert Quesada, Gabriel Schenker, Mat Voorter}}
_ Création lumières et scénographie {{Jan Van Gijsel}}
_ Design sonore et musique originale
{{Peter Van Hoesen}}
_ Musique {{Vicente Amigo, El Mandaito (Bulerias) ;
Roland Moser, Kabinett mit Vierteltönen: Noch ein
perpetuum mobile ; Knut Nystedt, Immortal Bach ;
Sergej Rachmaninov, Prelude Op. 23, No. 10 in G
Flat & Piano Sonata No. 2 in B Flat Minor ; Maurice
Ravel, La Valse ; Jean C. Roché, Dawn Chorus At
Bialowieja Forest, Concert de crapauds & Concerts
de la nuit : Concerts des loups en forêt canadienne ;
Erik Satie, Première Gymnopédie ; Dick Van Der
Harst, Drama & De Breton ; Stefan Wolpe, Marsch}}
_ Costumes {{OWN}}
Crédit photo {{Ursula Kaufmann & Filip Vanzieleghem}}
En l’espace d’une décennie, Thomas Hauert et sa compagnie bruxelloise
ZOO ont imposé une voix originale sur les scènes belges et internationales.
Dans Accords, les danseurs se greffent sur des pièces musicales
de Bach, Rachmaninov, Satie ou Ravel, pour rendre la musique « visible »
par un réseau complexe d’actions et de réactions. Les dynamiques,
les harmonies, les mélodies, les contrepoints, mais aussi l’expérience
sensuelle de l’interprétation musicale, sont traduits, amplifiés ou
détournés dans les corps. Le processus de création du mouvement —
entièrement improvisé — est basé sur la liberté individuelle et l’attention
permanente à l’autre.
« Ici, la danse dialogue sans relâche avec la musique, et le silence des
spectateurs entre chaque acte exprime le désir de voir, encore et encore,
un autre mouvement, une autre proposition. C’est une danse qui dit le désir
du groupe, du collectif en laissant chaque individualité s’exprimer au grand
jour, sans retenue. Une danse qui dit le désir du corps comme dernier
rempart contre les interdits. Une danse libre, savante et populaire où rien
ne sépare les danseurs, où tout les unit dans cette quête utopique d’autres
chants du possible. » MARIE-JOSÉ SIRACH
DISTRIBUTION
{{Cie ZOO}}
_ Concept et mise en scène {{Thomas Hauert}}
_ Danse originellement créée par {{Thomas Hauert,
Martin Kilvady, Sara Ludi, Chrysa Parkinson,
Zoë Poluch, Mat Voorter et Samantha van Wissen}}
_ Danse créée et présentée par {{Thomas Hauert,
Liz Kinoshita, Sarah Ludi, Zoë Poluch,
Albert Quesada, Gabriel Schenker, Mat Voorter}}
_ Création lumières et scénographie {{Jan Van Gijsel}}
_ Design sonore et musique originale
{{Peter Van Hoesen}}
_ Musique {{Vicente Amigo, El Mandaito (Bulerias) ;
Roland Moser, Kabinett mit Vierteltönen: Noch ein
perpetuum mobile ; Knut Nystedt, Immortal Bach ;
Sergej Rachmaninov, Prelude Op. 23, No. 10 in G
Flat & Piano Sonata No. 2 in B Flat Minor ; Maurice
Ravel, La Valse ; Jean C. Roché, Dawn Chorus At
Bialowieja Forest, Concert de crapauds & Concerts
de la nuit : Concerts des loups en forêt canadienne ;
Erik Satie, Première Gymnopédie ; Dick Van Der
Harst, Drama & De Breton ; Stefan Wolpe, Marsch}}
_ Costumes {{OWN}}
Crédit photo {{Ursula Kaufmann & Filip Vanzieleghem}}