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Bâche
Cie C. de la B. (Belgique)
Lundi 6 et mardi 7 décembre à 21h
JPEG - 18.5 ko
© C. Van Der Burght

Quatre danseurs chorégraphiés par Koen Augustijnen et deux musiciens. La musique de Purcell suscite des récits à propos des tracas quotidiens de six jeunes gens. Ils passent la serpillière sur le sol au rythme de la musique, ils traînent, ils font assaut de prouesses de streetdance.

Ce spectacle est né de la passion des œuvres pour haute-contre de Purcell que partagent le chorégraphe Koen Augustijnen et le haute-contre Steve Dugardin (Iets op Bach). Afin de susciter un dialogue entre l’ancien et le nouveau, la tradition et le présent, les chants de Henry Purcell sont adaptés, puis intégrés dans un paysage sonore contemporain conçu par le Belge Guy Van Nueten (du groupe The Sands, Tom barman, dEUS), auteur-compositeur et pianiste et compositeur classique.
Le thème de recherche principal du projet est un phénomène qui semble omniprésent ces jours-ci : la peur. La peur au niveau personnel ; la peur de perdre ce qu’on a, ce qui existe ; la peur d’aimer, de s’attacher ou de se lier ; la peur d’être enchaîné, entravé ; la peur de l’inconnu, la peur de changer, d’être surpris, de ne pas maîtriser les événements ; la peur de vieillir ; la peur de mourir...
À côté des deux musiciens (Steve Dugardin et Guy Van Nueten), quatre autres interprètes sont en scène. Les Français Tayeb Benamara et Ghislain Malardier, l’Américain Ted Stoffer et le Belge Koen Augustijnen disposent d’une immense expérience de différents genres de danse : ballet, danse contemporaine, breakdance, contact-improvisation, acrobaties de cirque, théâtre dansé, etc. bâche tente d’établir un dialogue et un échange entre ces différents domaines. Le spectacle tire également profit des expériences vécues par les interprètes, de leurs espoirs et de leurs angoisses, pour parler du présent.
Six corps deviennent complices pour ne plus former qu’un seul corps interprétant, composé de la voix du chanteur, des mains du pianiste et des bras et jambes des danseurs.

Mise en scène/ Chorégraphie
Koen Augustijnen
Chant
Steve Dugardin
Compositeur/Arrangement musicale/Piano
Guy Van Nueten
Créé et joué par
Koen Augustijnen
Ted Stoffer
Tayeb Benamara
Ghislain Malardier
Dramaturgie
Guy Cools
Création décor
Jean Bernard Koeman
Supervision technique/Construction décor/Régisseur du son
Peter De Blieck
Création lumière/Régisseur lumière
Carlo Bourguignon
Costumière
Lies Van Assche
Photographie
Chris Van der Burght
Production - Directeur de tournée
Hélène Gevaert
Producteur
Les Ballets C. de la B.
Citadellaan 40, B-9000 Gent
Coproducteurs
Théâtre de la Ville (Paris)
Hebbel Theater (Berlin)
Tanzhaus NRW (Dusseldorf)
Centre d’Arts (Gand)
Göteborg Dance & Theatre Festival (Göteborg)
La Rose des Vents (Villeneuve d’Ascq)
Avec l’appui
du Ministère de la Communauté Flamande
Ville de Gand
Province de la Flandre-Orientale
Loterie Nationale
Un grand merci à
Paul Mercelis, De Muur, Koen Mortier, Robrecht Ghesquière, Michael Smets, Bloso

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© C. Van Der Burght

Quatre danseurs chorégraphiés par Koen Augustijnen et deux musiciens. La musique de Purcell suscite des récits à propos des tracas quotidiens de six jeunes gens. Ils passent la serpillière sur le sol au rythme de la musique, ils traînent, ils font assaut de prouesses de streetdance.

Ce spectacle est né de la passion des œuvres pour haute-contre de Purcell que partagent le chorégraphe Koen Augustijnen et le haute-contre Steve Dugardin (Iets op Bach). Afin de susciter un dialogue entre l’ancien et le nouveau, la tradition et le présent, les chants de Henry Purcell sont adaptés, puis intégrés dans un paysage sonore contemporain conçu par le Belge Guy Van Nueten (du groupe The Sands, Tom barman, dEUS), auteur-compositeur et pianiste et compositeur classique.
Le thème de recherche principal du projet est un phénomène qui semble omniprésent ces jours-ci : la peur. La peur au niveau personnel ; la peur de perdre ce qu’on a, ce qui existe ; la peur d’aimer, de s’attacher ou de se lier ; la peur d’être enchaîné, entravé ; la peur de l’inconnu, la peur de changer, d’être surpris, de ne pas maîtriser les événements ; la peur de vieillir ; la peur de mourir...
À côté des deux musiciens (Steve Dugardin et Guy Van Nueten), quatre autres interprètes sont en scène. Les Français Tayeb Benamara et Ghislain Malardier, l’Américain Ted Stoffer et le Belge Koen Augustijnen disposent d’une immense expérience de différents genres de danse : ballet, danse contemporaine, breakdance, contact-improvisation, acrobaties de cirque, théâtre dansé, etc. bâche tente d’établir un dialogue et un échange entre ces différents domaines. Le spectacle tire également profit des expériences vécues par les interprètes, de leurs espoirs et de leurs angoisses, pour parler du présent.
Six corps deviennent complices pour ne plus former qu’un seul corps interprétant, composé de la voix du chanteur, des mains du pianiste et des bras et jambes des danseurs.

Mise en scène/ Chorégraphie
Koen Augustijnen
Chant
Steve Dugardin
Compositeur/Arrangement musicale/Piano
Guy Van Nueten
Créé et joué par
Koen Augustijnen
Ted Stoffer
Tayeb Benamara
Ghislain Malardier
Dramaturgie
Guy Cools
Création décor
Jean Bernard Koeman
Supervision technique/Construction décor/Régisseur du son
Peter De Blieck
Création lumière/Régisseur lumière
Carlo Bourguignon
Costumière
Lies Van Assche
Photographie
Chris Van der Burght
Production - Directeur de tournée
Hélène Gevaert
Producteur
Les Ballets C. de la B.
Citadellaan 40, B-9000 Gent
Coproducteurs
Théâtre de la Ville (Paris)
Hebbel Theater (Berlin)
Tanzhaus NRW (Dusseldorf)
Centre d’Arts (Gand)
Göteborg Dance & Theatre Festival (Göteborg)
La Rose des Vents (Villeneuve d’Ascq)
Avec l’appui
du Ministère de la Communauté Flamande
Ville de Gand
Province de la Flandre-Orientale
Loterie Nationale
Un grand merci à
Paul Mercelis, De Muur, Koen Mortier, Robrecht Ghesquière, Michael Smets, Bloso

DISTRIBUTION

   
ESPACES PLURIELS
SCÈNE CONVENTIONNÉE
D'INTÉRÊT NATIONAL
ART ET CRÉATION DANSE