Découverte chorégraphique
Je pense comme une fille enlève sa robe, duo danse et voix, aborde le thème du corps prostitué. Spectacle aussi personnel que poétique, la pièce de Perrine Valli questionne avec intelligence la prostitution et mêle avec brio les disciplines. La jeune chorégraphe franco-suisse a travaillé à partir de textes sur la prostitution d’auteurs aussi différents que Billie Holiday, Nick Cave, Aragon, Cocorosie, PJ Harvey, notamment. Un travail de voix à partir des mots est interprété directement sur scène. Le traitement sonore de la pièce est constitué d’enregistrements liés à l’univers de la prostitution : bruits corporels, moteur de voiture, claquements de talons, souffle du vent...
Perrine Valli, formée au Conservatoire national de Lyon, au CDC de Toulouse et au London contemporary Dance School, a travaillé avec Cindy Van Acker et Estelle Héritier, entre autres.
« Sur un sujet de société dur et délicat, cette jeune chorégraphe met les pieds dans le plat et travaille au carrefour des arts plastiques, du chant et de la performance. À découvrir. » Rosita Boisseau, Télérama
Tarif C
Théâtre Saragosse
Durée 1H00
Découverte chorégraphique
Je pense comme une fille enlève sa robe, duo danse et voix, aborde le thème du corps prostitué. Spectacle aussi personnel que poétique, la pièce de Perrine Valli questionne avec intelligence la prostitution et mêle avec brio les disciplines. La jeune chorégraphe franco-suisse a travaillé à partir de textes sur la prostitution d’auteurs aussi différents que Billie Holiday, Nick Cave, Aragon, Cocorosie, PJ Harvey, notamment. Un travail de voix à partir des mots est interprété directement sur scène. Le traitement sonore de la pièce est constitué d’enregistrements liés à l’univers de la prostitution : bruits corporels, moteur de voiture, claquements de talons, souffle du vent...
Perrine Valli, formée au Conservatoire national de Lyon, au CDC de Toulouse et au London contemporary Dance School, a travaillé avec Cindy Van Acker et Estelle Héritier, entre autres.
« Sur un sujet de société dur et délicat, cette jeune chorégraphe met les pieds dans le plat et travaille au carrefour des arts plastiques, du chant et de la performance. À découvrir. » Rosita Boisseau, Télérama