Jean-Claude Gallotta, directeur du Centre chorégraphique national de Grenoble, réunit Serge Gainsbourg et Alain Bashung pour un opéra rock créé en hommage aux deux musiciens.
Oeuvre culte de Gainsbourg écrite en 1976, L’homme à tête de chou est un album qui parle d’amour, de beauté et de laideur à travers les aventures d’un quadragénaire amoureux de Marilou, une shampouineuse délurée. Des trente-deux minutes du disque, Jean-Claude Gallotta a fait un ballet d’une heure dix en douze tableaux. Les quatorze interprètes dansent la violence, le désir et l’absence.
La création chorégraphique de L’homme à tête de chou permet de réécouter la somptueuse voix d’Alain Bashung qui avait enregistré ses réinterprétations des titres de Gainsbourg sur une bande son devenue la matrice du spectacle. Jusqu’à la fin de sa vie, il a donné aux techniciens et au chorégraphe les indications pour la création de la partition finale. Jean-Claude Gallotta s’est emparé de cette oeuvre unique et posthume, troublante et pleine d’émotions, portée par l’esprit de Gainsbourg et de Bashung, deux « auteurs-rockeurs », tourmentés, sombres, mais aussi ironiques, élégants, aimant l’amour et la vie.
En partenariat avec les ACP
Tarif A
Zénith de Pau
Durée 1H15
Jean-Claude Gallotta, directeur du Centre chorégraphique national de Grenoble, réunit Serge Gainsbourg et Alain Bashung pour un opéra rock créé en hommage aux deux musiciens.
Oeuvre culte de Gainsbourg écrite en 1976, L’homme à tête de chou est un album qui parle d’amour, de beauté et de laideur à travers les aventures d’un quadragénaire amoureux de Marilou, une shampouineuse délurée. Des trente-deux minutes du disque, Jean-Claude Gallotta a fait un ballet d’une heure dix en douze tableaux. Les quatorze interprètes dansent la violence, le désir et l’absence.
La création chorégraphique de L’homme à tête de chou permet de réécouter la somptueuse voix d’Alain Bashung qui avait enregistré ses réinterprétations des titres de Gainsbourg sur une bande son devenue la matrice du spectacle. Jusqu’à la fin de sa vie, il a donné aux techniciens et au chorégraphe les indications pour la création de la partition finale. Jean-Claude Gallotta s’est emparé de cette oeuvre unique et posthume, troublante et pleine d’émotions, portée par l’esprit de Gainsbourg et de Bashung, deux « auteurs-rockeurs », tourmentés, sombres, mais aussi ironiques, élégants, aimant l’amour et la vie.
En partenariat avec les ACP