Dans cette pièce publiée en 1904 par Arthur Schnitzler, médecin autrichien admirateur de Freud, on suit le destin de Julian Fichtner, un célèbre peintre. Ce dernier revient dans sa ville natale où, jadis, il a eu un enfant avec la jeune fille qui lui servait de modèle avant de choisir la liberté et de mener une vie tournée vers l’art et le plaisir. Cette jeune fille était fiancée à Wegrat, un ami du peintre, qui a élevé l’enfant comme le sien. Apprenant la mort de cette femme qu’il a aimée, Julian Fichtner veut révéler la vérité à son fils, le seul enfant qu’il ait eu. Mais celui-ci, jeune officier de vingt-trois ans, est-il prêt à entendre l’aveu de cette paternité ?
Les STAN, comme toujours, ne s’embarrassent pas des conventions théâtrales. Chaque comédien, homme ou femme, endosse tour à tour les différents rôles, comme pour mieux souligner le propos de la pièce : montrer comment nos vies interagissent les unes avec les autres, pour le meilleur ou pour le pire. Dans une scénographie dépouillée, les comédiens jouent avec les règles du théâtre, fissurant sérieusement le « quatrième mur » censé les séparer du public.
Maison de l’Etudiant
Durée 2H
Tarif B
Partenariat la Centrifugeuse / UPPA
Dans cette pièce publiée en 1904 par Arthur Schnitzler, médecin autrichien admirateur de Freud, on suit le destin de Julian Fichtner, un célèbre peintre. Ce dernier revient dans sa ville natale où, jadis, il a eu un enfant avec la jeune fille qui lui servait de modèle avant de choisir la liberté et de mener une vie tournée vers l’art et le plaisir. Cette jeune fille était fiancée à Wegrat, un ami du peintre, qui a élevé l’enfant comme le sien. Apprenant la mort de cette femme qu’il a aimée, Julian Fichtner veut révéler la vérité à son fils, le seul enfant qu’il ait eu. Mais celui-ci, jeune officier de vingt-trois ans, est-il prêt à entendre l’aveu de cette paternité ?
Les STAN, comme toujours, ne s’embarrassent pas des conventions théâtrales. Chaque comédien, homme ou femme, endosse tour à tour les différents rôles, comme pour mieux souligner le propos de la pièce : montrer comment nos vies interagissent les unes avec les autres, pour le meilleur ou pour le pire. Dans une scénographie dépouillée, les comédiens jouent avec les règles du théâtre, fissurant sérieusement le « quatrième mur » censé les séparer du public.