De Pascal Rambert, Espaces Pluriels a accueilli en octobre 2013 une Clôture de l’amour implacable qui confrontait Stanislas Nordey à la comédienne Audrey Bonnet, sublime de dignité. Une dizaine d’années avant l’écriture de ce texte magnifique sur la rupture, l’auteur avait tenté de cerner Le Début de l’A., début de la rencontre, naissance du désir et de la relation amoureuse. Créé sous sa forme théâtrale en janvier 2005 à la Comédie Française par Pascal Rambert, Le Début de l’A. est présenté ici sous forme de lecture musicale par Audrey Bonnet et Pascal Rambert.
Éloigné de tout procédé narratif, PASCAL RAMBERT cherche à comprendre le réel. Il tente de lui donner voix et corps, en renouvelant les moyens et les formes de la communauté temporaire qu’est un spectacle. Renonçant aux modes habituels de l’écriture, aux stéréotypes de la fable ou de la mise en scène, il conçoit des spectacles, entre performances et installations, attentifs aux « transformations de réalité ». Profondément imprégné par l’art et la philosophie contemporains, ses oeuvres sont des propositions « blanches » dans lesquelles le spectateur est invité à « écrire ». Pascal Rambert a d’abord été marqué par Pina Bausch et Claude Régy. Après un passage à l’école de Chaillot avec Antoine Vitez, il alterne l’écriture et la mise en scène, et devient metteur en scène de ses propres pièces. Il est directeur du Théâtre de Gennevilliers depuis janvier 2007.
De Pascal Rambert, Espaces Pluriels a accueilli en octobre 2013 une Clôture de l’amour implacable qui confrontait Stanislas Nordey à la comédienne Audrey Bonnet, sublime de dignité. Une dizaine d’années avant l’écriture de ce texte magnifique sur la rupture, l’auteur avait tenté de cerner Le Début de l’A., début de la rencontre, naissance du désir et de la relation amoureuse. Créé sous sa forme théâtrale en janvier 2005 à la Comédie Française par Pascal Rambert, Le Début de l’A. est présenté ici sous forme de lecture musicale par Audrey Bonnet et Pascal Rambert.
Éloigné de tout procédé narratif, PASCAL RAMBERT cherche à comprendre le réel. Il tente de lui donner voix et corps, en renouvelant les moyens et les formes de la communauté temporaire qu’est un spectacle. Renonçant aux modes habituels de l’écriture, aux stéréotypes de la fable ou de la mise en scène, il conçoit des spectacles, entre performances et installations, attentifs aux « transformations de réalité ». Profondément imprégné par l’art et la philosophie contemporains, ses oeuvres sont des propositions « blanches » dans lesquelles le spectateur est invité à « écrire ». Pascal Rambert a d’abord été marqué par Pina Bausch et Claude Régy. Après un passage à l’école de Chaillot avec Antoine Vitez, il alterne l’écriture et la mise en scène, et devient metteur en scène de ses propres pièces. Il est directeur du Théâtre de Gennevilliers depuis janvier 2007.
LECTURE AUDREY BONNET ET PASCAL RAMBERT / MUSIQUE ALEXANDRE MEYER
CRÉDIT PHOTO MELISSA MAHON