jeu 28 janv 20H30
A l’initiative de Jean-Paul Bernard, directeur des Percussions de Strasbourg, la chorégraphe belge Michèle Noiret, formée à l’Ecole Mudra de Maurice Béjart, cosigne avec le compositeur François Paris une pièce envoûtante pour six danseurs et sept percussionnistes. Après 15 ans de collaboration avec Karlheinz Stockhausen, Michèle Noiret, soucieuse du beau mouvement et de la finition soignée, continue à creuser les rapports entre la danse et la musique. Le vaste plateau des Arpenteurs déploie une impressionnante scénographie de l’imaginaire urbain. Alain Lagarde y a planté les contours d’une ville étrange et fantomatique, avec ses tours, ses ruelles, ses façades, ses terrasses. Les interprètes traversent cet univers architectural dans une ambiance cinématographique somptueuse, soulignée par des ombres immenses, des lumières sublimes qui révèlent la portée onirique et fantasmatique de la pièce. Véritables « personnages chorégraphiques », les danseurs forment des groupes, s’éparpillent, se battent, s’enlacent. Leur virtuosité est éblouissante dans la vitesse comme dans le ralenti. Ils vont, viennent, courent, arpentent en tous sens cette étrange cité pour y inscrire leurs luttes, leurs connivences, leurs petites lâchetés, leurs peurs ou leurs désirs. On compte dans cette pièce nombre de moments grandioses, charnels, ambigus, auxquels concourt la magnifique musique de François Paris confiée à des maîtres absolus de la vibration.
Tarif A
Zénith de Pau
Durée 1h25
Chorégraphie Michèle Noiret Composition musicale originale François Paris Assistante à la chorégraphie Pascale Gigon Dansé par et créé avec Elena Borghese, Julie Devigne, Dominique Godderis, Matthieu Guénégou, Nicolas Hubert, Isael Mata, Lise Vachon, Les Percussions de Strasbourg Jean-Paul Bernard (direction artistique), Claude Ferrier, Bernard Lesage, Keiko Nakamura, François Papirer, Olaf Tzschoppe Scénographie et costume Alain Lagarde Lumières Xavier Lauwers Direction technique Christian Halkin
A l’initiative de Jean-Paul Bernard, directeur des Percussions de Strasbourg, la chorégraphe belge Michèle Noiret, formée à l’Ecole Mudra de Maurice Béjart, cosigne avec le compositeur François Paris une pièce envoûtante pour six danseurs et sept percussionnistes. Après 15 ans de collaboration avec Karlheinz Stockhausen, Michèle Noiret, soucieuse du beau mouvement et de la finition soignée, continue à creuser les rapports entre la danse et la musique. Le vaste plateau des Arpenteurs déploie une impressionnante scénographie de l’imaginaire urbain. Alain Lagarde y a planté les contours d’une ville étrange et fantomatique, avec ses tours, ses ruelles, ses façades, ses terrasses. Les interprètes traversent cet univers architectural dans une ambiance cinématographique somptueuse, soulignée par des ombres immenses, des lumières sublimes qui révèlent la portée onirique et fantasmatique de la pièce. Véritables « personnages chorégraphiques », les danseurs forment des groupes, s’éparpillent, se battent, s’enlacent. Leur virtuosité est éblouissante dans la vitesse comme dans le ralenti. Ils vont, viennent, courent, arpentent en tous sens cette étrange cité pour y inscrire leurs luttes, leurs connivences, leurs petites lâchetés, leurs peurs ou leurs désirs. On compte dans cette pièce nombre de moments grandioses, charnels, ambigus, auxquels concourt la magnifique musique de François Paris confiée à des maîtres absolus de la vibration.