Théâtre Saragosse
Dans une pièce à la fois intime et burlesque, l’auteur et metteur en scène Anna Nozière convoque sur le plateau des figures de la mémoire. L’enfance d’Annie Rozier est racontée dans une suite de scènes brèves où accouchements, baptêmes et veillées mortuaires ressemblent à d’absurdes cauchemars pourtant jubilatoires. Ici, l’on se refile des fantômes, des enfants morts et des jambes de bois. Cette comédie noire, dans laquelle l’humour et la cocasserie le disputent à l’effroi, est avant tout traversée par une théâtralité débridée. De temps à autre, seulement, le murmure suspendu d’un champ d’alcôve se laisse percevoir.
« Aujourd’hui, à 38 ans, Anna Nozière débarque
comme une comète dans le milieu "officiel ".
On ne l’avait pas vue venir, et elle s’impose avec
éclat comme auteur et metteur en scène avec Les
Fidèles. Un texte sombre, d’une ironie féroce, qu’elle
a réussi à monter à force de patience. [...] Quelle
maturité riche de liberté dans ce conte familial où
se croisent, comme s’ils sortaient des fantasmes de
la petite Annie (Anna ?), toute une galerie d’adultes
angoissants et ridicules… »
EMANUELLE BOUCHEZ, TÉLÉRAMA, JANV 2011.
Théâtre Saragosse
Durée 1H20
Tarif B
Dans une pièce à la fois intime et burlesque, l’auteur et metteur en scène Anna Nozière convoque sur le plateau des figures de la mémoire. L’enfance d’Annie Rozier est racontée dans une suite de scènes brèves où accouchements, baptêmes et veillées mortuaires ressemblent à d’absurdes cauchemars pourtant jubilatoires. Ici, l’on se refile des fantômes, des enfants morts et des jambes de bois. Cette comédie noire, dans laquelle l’humour et la cocasserie le disputent à l’effroi, est avant tout traversée par une théâtralité débridée. De temps à autre, seulement, le murmure suspendu d’un champ d’alcôve se laisse percevoir.
« Aujourd’hui, à 38 ans, Anna Nozière débarque
comme une comète dans le milieu "officiel ".
On ne l’avait pas vue venir, et elle s’impose avec
éclat comme auteur et metteur en scène avec Les
Fidèles. Un texte sombre, d’une ironie féroce, qu’elle
a réussi à monter à force de patience. [...] Quelle
maturité riche de liberté dans ce conte familial où
se croisent, comme s’ils sortaient des fantasmes de
la petite Annie (Anna ?), toute une galerie d’adultes
angoissants et ridicules… »
EMANUELLE BOUCHEZ, TÉLÉRAMA, JANV 2011.
Texte et mise en scène Anna Nozière Interprétation Catherine Boeuf, Virginie Colemyn, Fabrice Gaillard, Camille Garcia, Martial Jacques, Claire-Monique Scherer, Marina Moncade, Pascal Thétard Assistante à la mise en scène Geneviève Thomas Collaboration artistique Denis Loubaton Scénographie Cécile Léna Lumière Antonin Liège Son Loïc Lachaize Musique Julie Läderach et Soslan Cavadore Régie générale Gilles Muller Costumes Cécile Léna et Patricia de Petitville Fabrication accessoires et décor Marc Valladon Assistante auditions Rebecca Bonnet Assistante stagiaire Marine Baldini Cuisine Catherine Lavigne Chargée de diffusion Olivia Peressetchensky Coproduction TnBA – Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine, Théâtre de Sartrouville et des Yvelines – CDN, La Comédie de Reims – CDN, L’OARA – office artistique pour la région Aquitaine, l’Essaim de Julie – lieu de création et de résidence artistique. _ Avec le soutien de la DRAC Aquitaine Ministère de la culture et de la communication. _ Avec l’aide à la création du CNT, et le soutien de la SACD à l’auteur Mécénat d’entreprise Cabinet Synthesis Mécènes privés Marie-Victoire Bergot, Marie-Laure Brigand, Nathalie Di Francesco, Patricia Leloup, Florence et Yann Minard-Marmorat, Danièle Pierre, Sandrine Vilanova. _ Remerciements à la Compagnie Daniel Larrieu, Le Samovar, Marc Valladon, Hélène Salat.
