Acrobate, trampoliniste, metteur en scène, Mathurin Bolze affiche
dès ses premiers spectacles, tels le solo Fenêtres (2001), présenté
à Pau en 2016, ou encore Tangentes (2005), son goût pour
les surfaces multiples, les volumes, les trajectoires inattendues.
S’y trace, dans l’espace aérien exploré, le cheminement intérieur
d’une humanité fraternelle, à la conquête de la verticale. Sa
dernière création, Les hauts plateaux, met en scène un univers
peuplé de corps en résistance poétique, d’errances et d’espoir.
Un monde où le capitalisme récupère et phagocyte tout ce qui
se trouve hors de son système pour laisser toutes ressources
exsangues et ruinées.
Mais si Mathurin Bolze s’intéresse aux ruines et
aux lignes de fractures, c’est qu’elles constituent
pour lui un chantier prometteur, celui des
aventures humaines qui traversent le temps et
mettent en œuvre les solidarités.
Tandis que tout s’effondre autour d’eux, les sept acrobates qui
évoluent sur le plateau continuent à vouloir monter. Avec élégance,
ils s’arrachent à la pesanteur en direction des hauts plateaux,
point haut de la parabole, présent d’une rare intensité,
irradiant de plaisir, de sensibilité et de force. Mathurin Bolze
construit, par ses élans contraires, ses échos gestuels savamment
réglés au sein d’un espace scénique qui s’étage, un monde
menacé d’effondrement où la résilience existe, où l’humour
résiste, où la vie insiste... la définition de notre propre monde en
suspension.
Production déléguée Compagnie les mains,
les pieds et la tête aussi. Avec le soutien
de Le Manège scène nationale – Reims,
2 Pôles Cirque en Normandie, La Brèche
à Cherbourg, Cirque-Théâtre d’Elbeuf, La
Comédie de Valence – Centre dramatique
national Drôme-Ardèche, Pôle européen de
création – Ministère de la culture, Maison
de la danse de Lyon. Théâtre La Passerelle -
scène nationale de Gap et des Alpes du
Sud, Bonlieu – scène nationale Annecy,
Théâtre du Vellein – Capi, Malraux – scène
nationale de Chambéry et de Savoie, MA
scène nationale – Pays de Montbéliard,
MC93 Bobigny – Maison de la culture
de Seine-Saint-Denis dans le cadre du
FONDOC, CIRCa – Pôle National Cirque
Auch Gers Occitanie, Le Parvis scène
nationale Tarbes Pyrénées, La Verrerie
d’Alès – Pôle National Cirque Occitanie, Le
Cratère – scène nationale d’Alès. Ce projet
a bénéficié du soutien de la commission
nationale d’aide à la création pour les
arts du cirque du Ministère de la Culture
et de la Communication, du soutien de la
région GRAND EST et du Centre National
des Arts du Cirque au titre de l’insertion
professionnelle. La compagnie est
conventionnée par le Ministère de la Culture
et de la Communication – DRAC Auvergne
Rhône-Alpes, par la Région Auvergne
Rhône-Alpes et la Ville de Lyon au titre
de son projet artistique et culturel / Crédits photo Brice Robert | Christophe Raynaud De Lage
Conception Mathurin Bolze / De et avec Anahi De Las Cuevas, Julie Tavert, Johan Caussin, Frédéric Vernier, Corentin Diana, Andres Labarca, Mathurin Bolze / Dramaturgie Samuel Vittoz / Scénographie Goury / Machinerie scénique et régie plateau Nicolas Julliand / Composition musicale Camel Zekri / Création sonore et direction technique Jérôme Fèvre / Création lumière Rodolphe Martin / Création vidéo Wilfrid Haberey / Création costumes Fabrice Ilia Leroy / Construction décor par les ateliers de la MC93 Bobigny.
Acrobate, trampoliniste, metteur en scène, Mathurin Bolze affiche
dès ses premiers spectacles, tels le solo Fenêtres (2001), présenté
à Pau en 2016, ou encore Tangentes (2005), son goût pour
les surfaces multiples, les volumes, les trajectoires inattendues.
S’y trace, dans l’espace aérien exploré, le cheminement intérieur
d’une humanité fraternelle, à la conquête de la verticale. Sa
dernière création, Les hauts plateaux, met en scène un univers
peuplé de corps en résistance poétique, d’errances et d’espoir.
Un monde où le capitalisme récupère et phagocyte tout ce qui
se trouve hors de son système pour laisser toutes ressources
exsangues et ruinées.
Mais si Mathurin Bolze s’intéresse aux ruines et
aux lignes de fractures, c’est qu’elles constituent
pour lui un chantier prometteur, celui des
aventures humaines qui traversent le temps et
mettent en œuvre les solidarités.
Tandis que tout s’effondre autour d’eux, les sept acrobates qui
évoluent sur le plateau continuent à vouloir monter. Avec élégance,
ils s’arrachent à la pesanteur en direction des hauts plateaux,
point haut de la parabole, présent d’une rare intensité,
irradiant de plaisir, de sensibilité et de force. Mathurin Bolze
construit, par ses élans contraires, ses échos gestuels savamment
réglés au sein d’un espace scénique qui s’étage, un monde
menacé d’effondrement où la résilience existe, où l’humour
résiste, où la vie insiste... la définition de notre propre monde en
suspension.
DISTRIBUTION
Production déléguée Compagnie les mains,
les pieds et la tête aussi. Avec le soutien
de Le Manège scène nationale – Reims,
2 Pôles Cirque en Normandie, La Brèche
à Cherbourg, Cirque-Théâtre d’Elbeuf, La
Comédie de Valence – Centre dramatique
national Drôme-Ardèche, Pôle européen de
création – Ministère de la culture, Maison
de la danse de Lyon. Théâtre La Passerelle -
scène nationale de Gap et des Alpes du
Sud, Bonlieu – scène nationale Annecy,
Théâtre du Vellein – Capi, Malraux – scène
nationale de Chambéry et de Savoie, MA
scène nationale – Pays de Montbéliard,
MC93 Bobigny – Maison de la culture
de Seine-Saint-Denis dans le cadre du
FONDOC, CIRCa – Pôle National Cirque
Auch Gers Occitanie, Le Parvis scène
nationale Tarbes Pyrénées, La Verrerie
d’Alès – Pôle National Cirque Occitanie, Le
Cratère – scène nationale d’Alès. Ce projet
a bénéficié du soutien de la commission
nationale d’aide à la création pour les
arts du cirque du Ministère de la Culture
et de la Communication, du soutien de la
région GRAND EST et du Centre National
des Arts du Cirque au titre de l’insertion
professionnelle. La compagnie est
conventionnée par le Ministère de la Culture
et de la Communication – DRAC Auvergne
Rhône-Alpes, par la Région Auvergne
Rhône-Alpes et la Ville de Lyon au titre
de son projet artistique et culturel / Crédits photo Brice Robert | Christophe Raynaud De Lage