La scène conventionnée Espaces Pluriels convie le public à la présentation de Mauvais sucre, une création menée par le chorégraphe Gilles Baron dans deux classes de GS/CP et CP de l’école Nandina Park à Pau. Ce projet constitue la seconde édition paloise de Mauvais sucre, puisqu’une première édition avait déjà vu le jour la saison dernière en collaboration avec l’école des Fleurs.
Mauvais Sucre n’est pas un spectacle figé, ni une chorégraphie reproductible mais une possibilité chorégraphique, un dispositif transmissible imaginé en 2014 par le chorégraphe Gilles Baron, en partenariat avec le Cuvier-Centre de Développement Chorégraphique de la Nouvelle-Aquitaine.
« Le projet Mauvais Sucre est né d’une observation en milieu scolaire, après plusieurs interventions en direction des enfants, j’ai éprouvé l’envie de créer pour les enfants et avec les enfants une forme chorégraphique légère mettant en exergue leur formidable puissance juvénile. Il y avait devant moi une sorte d’organisation sociale, un rassemblement d’individualités contraintes à s’épanouir au sein du groupe. Une formation archaïque et chaotique, une société mouvante destinée à poursuivre un futur commun. Une épopée… » Gilles Baron
La scène conventionnée Espaces Pluriels convie le public à la présentation de Mauvais sucre, une création menée par le chorégraphe Gilles Baron dans deux classes de GS/CP et CP de l’école Nandina Park à Pau. Ce projet constitue la seconde édition paloise de Mauvais sucre, puisqu’une première édition avait déjà vu le jour la saison dernière en collaboration avec l’école des Fleurs.
Mauvais Sucre n’est pas un spectacle figé, ni une chorégraphie reproductible mais une possibilité chorégraphique, un dispositif transmissible imaginé en 2014 par le chorégraphe Gilles Baron, en partenariat avec le Cuvier-Centre de Développement Chorégraphique de la Nouvelle-Aquitaine.
« Le projet Mauvais Sucre est né d’une observation en milieu scolaire, après plusieurs interventions en direction des enfants, j’ai éprouvé l’envie de créer pour les enfants et avec les enfants une forme chorégraphique légère mettant en exergue leur formidable puissance juvénile. Il y avait devant moi une sorte d’organisation sociale, un rassemblement d’individualités contraintes à s’épanouir au sein du groupe. Une formation archaïque et chaotique, une société mouvante destinée à poursuivre un futur commun. Une épopée… » Gilles Baron