Deux trios en miroir, New School et Quelque part au milieu de l’infini, signent l’univers chorégraphique d’Amala Dianor. Né au Sénégal, passé par le hip-hop et le Centre national de danse contemporaine d’Angers, il est d’abord interprète chez Françoise et Dominique Dupuy, puis Emanuel Gat, avant de créer sa compagnie en 2012. Amala Dianor développe une danse fluide et organique, hybride de sabar sénégalais, de hip-hop disloqué et acrobatique, ainsi que de contemporain. Directement issu de la pièce De(s)génération (2016), le trio New School, décortique la grammaire hip-hop pour en tresser une guirlande ciselée de poses et d’acrobaties. Dans un rapport de complicité et de jeu permanent, les interprètes nous font partager la genèse de « l’abstract », ce style de danse qui ose le métissage tout en s’appuyant sur les règles et les conventions de la danse hip-hop. Dans Quelque part au milieu de l’infini, Amala Dianor pose sur scène un traité de danse pure avec la seule passion du mouvement et de la relation à l’autre.
« Une combinatoire chorégraphique magique qui fait respirer la scène et irradie de sérénité. Cette circulation du trio est soufflée par l’écriture d’Amala Dianor. L’ensemble est subtil et sensuel, virtuose sans ostentation, tant les trois interprètes parlent naturellement cette langue métisse. Et, si le hip-hop n’a rien ici d’une charge guerrière nerveuse, il n’en garde pas moins son électricité intime. » Rosita Boisseau, le Monde, mars 2018.

Deux trios en miroir, New School et Quelque part au milieu de l’infini, signent l’univers chorégraphique d’Amala Dianor. Né au Sénégal, passé par le hip-hop et le Centre national de danse contemporaine d’Angers, il est d’abord interprète chez Françoise et Dominique Dupuy, puis Emanuel Gat, avant de créer sa compagnie en 2012. Amala Dianor développe une danse fluide et organique, hybride de sabar sénégalais, de hip-hop disloqué et acrobatique, ainsi que de contemporain. Directement issu de la pièce De(s)génération (2016), le trio New School, décortique la grammaire hip-hop pour en tresser une guirlande ciselée de poses et d’acrobaties. Dans un rapport de complicité et de jeu permanent, les interprètes nous font partager la genèse de « l’abstract », ce style de danse qui ose le métissage tout en s’appuyant sur les règles et les conventions de la danse hip-hop. Dans Quelque part au milieu de l’infini, Amala Dianor pose sur scène un traité de danse pure avec la seule passion du mouvement et de la relation à l’autre.
« Une combinatoire chorégraphique magique qui fait respirer la scène et irradie de sérénité. Cette circulation du trio est soufflée par l’écriture d’Amala Dianor. L’ensemble est subtil et sensuel, virtuose sans ostentation, tant les trois interprètes parlent naturellement cette langue métisse. Et, si le hip-hop n’a rien ici d’une charge guerrière nerveuse, il n’en garde pas moins son électricité intime. » Rosita Boisseau, le Monde, mars 2018.