Georges Appaix livre une nouvelle création drôle, déroutante et poétique qui pose la question de l’abstraction, explorée par le biais de la danse mais aussi de la musique, de la peinture, de la littérature et de la vidéo.
Fidèle au principe qui est le sien depuis quinze ans, Georges Appaix égrène, création après création, l’alphabet, à travers la première lettre des titres de ses spectacles. Il s’est cette fois arrêté sur O. Contrairement à ce que Once upon a time pourrait laisser penser, le chorégraphe marseillais ne raconte pas une histoire mais porte un regard différent sur la réalité, sur des choses simples, « si proches qu’elles en deviennent... comment dire, abstraites peut-être ? ». Cet Il était une fois... n’annonce rien et ne prépare pas le spectateur au développement d’un quelconque récit. Il aborde surtout la question de l’abstraction, du rapport avec les objets, - qui envahissent peu à peu le plateau, - et de la préoccupation des corps.
Affranchi du sens, de la narration, le chorégraphe mêle à la danse, la voix et la musique de jazz, « musique transversale par excellence (...) qui recycle et invente sans cesse ». Au spectateur de relier les bribes et d’interpréter à sa manière ce qui se passe sur scène, dans des saynètes drôles ou poétiques, qui s’entrecroisent, glissent, interpellent le spectateur sur fond de projections vidéo. Comme toujours chez Georges Appaix, la voix parlée et la musique tiennent une place importante dans le processus de création. Les sept danseurs, d’âges très différents et aux origines diverses, offrent ici un spectacle particulièrement enjoué.
Administration Denise Le Guidec
Diffusion/ Production Pascale Luce
Communication/Logistique Hélène Albert
Coproduction Compagnie La Liseuse, Le Théâtre de Nîmes, Théâtre de l’Agora - Scène Nationale d’Evry et de l’Essonne, Pôle-Sud - Théâtre de Strasbourg, scène conventionnée danse et musique, Le Théâtre - Scène Nationale de Poitiers, Le Vivat à Armentières - Scène conventionnée Danse et Théâtre.
La Liseuse est une compagnie chorégraphique résidant à la Friche la Belle de Mai à Marseille. Elle est conventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur), subventionnée par la ville de Marseille, le Conseil Général des Bouches-du-Rhône et le Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d’Azur.
durée : 1h30
Chorégraphie
Georges Appaix
Collaboration et interprétation
François Bouteau, Sébastien Chatellier, Pascale Cherblanc, Montaine Chevalier, Maud Le Pladec, Sabine Macher, Georges Appaix
Collaboration pour la dramaturgie
Christine Rodès
Scénographie
Yves Godin et Georges Appaix
Régie générale
Xavier Longo
Son
Olivier Renouf
Lumières
Yves Godin
Styliste costumes
Michèle Paldacci
Réalisation costumes
Claire Piazzola au Petit Atelier
Régie son
Emmanuel Proust
Régie lumières
Régis Montambaux
Sam 27 et dim 28 mai
->9h-12h et 14h-17h
Stage Danse avec Montaine Chavalier, danseuse de la compagnie La Liseuse.
Georges Appaix livre une nouvelle création drôle, déroutante et poétique qui pose la question de l’abstraction, explorée par le biais de la danse mais aussi de la musique, de la peinture, de la littérature et de la vidéo.
Fidèle au principe qui est le sien depuis quinze ans, Georges Appaix égrène, création après création, l’alphabet, à travers la première lettre des titres de ses spectacles. Il s’est cette fois arrêté sur O. Contrairement à ce que Once upon a time pourrait laisser penser, le chorégraphe marseillais ne raconte pas une histoire mais porte un regard différent sur la réalité, sur des choses simples, « si proches qu’elles en deviennent... comment dire, abstraites peut-être ? ». Cet Il était une fois... n’annonce rien et ne prépare pas le spectateur au développement d’un quelconque récit. Il aborde surtout la question de l’abstraction, du rapport avec les objets, - qui envahissent peu à peu le plateau, - et de la préoccupation des corps.
Affranchi du sens, de la narration, le chorégraphe mêle à la danse, la voix et la musique de jazz, « musique transversale par excellence (...) qui recycle et invente sans cesse ». Au spectateur de relier les bribes et d’interpréter à sa manière ce qui se passe sur scène, dans des saynètes drôles ou poétiques, qui s’entrecroisent, glissent, interpellent le spectateur sur fond de projections vidéo. Comme toujours chez Georges Appaix, la voix parlée et la musique tiennent une place importante dans le processus de création. Les sept danseurs, d’âges très différents et aux origines diverses, offrent ici un spectacle particulièrement enjoué.
Administration Denise Le Guidec
Diffusion/ Production Pascale Luce
Communication/Logistique Hélène Albert
Coproduction Compagnie La Liseuse, Le Théâtre de Nîmes, Théâtre de l’Agora - Scène Nationale d’Evry et de l’Essonne, Pôle-Sud - Théâtre de Strasbourg, scène conventionnée danse et musique, Le Théâtre - Scène Nationale de Poitiers, Le Vivat à Armentières - Scène conventionnée Danse et Théâtre.
La Liseuse est une compagnie chorégraphique résidant à la Friche la Belle de Mai à Marseille. Elle est conventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur), subventionnée par la ville de Marseille, le Conseil Général des Bouches-du-Rhône et le Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d’Azur.