Représentations en extérieur uniquement, dans le parc de la Villa Ridgway.
En cas de pluie, merci de prévoir vêtements imperméables et parapluies.
Entrée par l’avenue des Tilleuls.
La nouvelle création du Belge Alexander Vantournhout Screws est un parcours in-situ de cinq micro-performances qui se déploient dans le cadre du parc de la Villa Ridgway. Chacune interroge la relation entre l’objet et le corps sous un angle différent. Le circo-chorégraphe, comme il aime lui-même à se définir, creuse cette fascination de l’objet comme prolongement du corps qui caractérise ses créations antérieures, des plateformes shoes et gants de boxe d’aneckxander (2015) au corps inerte de son partenaire dans Raphaël (2016). Sa démarche est marquée par une recherche du potentiel créatif et cinétique de la limitation physique, un brouillage de la frontière entre le performeur et l’objet. Dans cette relation le corps est toujours soumis aux contraintes de l’objet — une boule de bowling, des chaussures à crampons, une barre de suspension — et à sa statique. Plus qu’une simple série de performances, Screws met en lumière l’éventail de possibilités physiques offertes pas le travail d’Alexander Vantournhout, la manière dont le poids, les lignes, les articulations du corps entrent en fusion avec une altérité matérielle pour produire une réalité physique augmentée, un au-delà du possible élastique où les torsions extrêmes et les déséquilibres allient poésie, émotion pure et performance. Déjouant les lois de la physique, le chorégraphe et ses six performeurs reconfigurent les anatomies pour extraire la danse et le cirque des mouvements codifiés.

Représentations en extérieur uniquement, dans le parc de la Villa Ridgway.
En cas de pluie, merci de prévoir vêtements imperméables et parapluies.
Entrée par l’avenue des Tilleuls.
La nouvelle création du Belge Alexander Vantournhout Screws est un parcours in-situ de cinq micro-performances qui se déploient dans le cadre du parc de la Villa Ridgway. Chacune interroge la relation entre l’objet et le corps sous un angle différent. Le circo-chorégraphe, comme il aime lui-même à se définir, creuse cette fascination de l’objet comme prolongement du corps qui caractérise ses créations antérieures, des plateformes shoes et gants de boxe d’aneckxander (2015) au corps inerte de son partenaire dans Raphaël (2016). Sa démarche est marquée par une recherche du potentiel créatif et cinétique de la limitation physique, un brouillage de la frontière entre le performeur et l’objet. Dans cette relation le corps est toujours soumis aux contraintes de l’objet — une boule de bowling, des chaussures à crampons, une barre de suspension — et à sa statique. Plus qu’une simple série de performances, Screws met en lumière l’éventail de possibilités physiques offertes pas le travail d’Alexander Vantournhout, la manière dont le poids, les lignes, les articulations du corps entrent en fusion avec une altérité matérielle pour produire une réalité physique augmentée, un au-delà du possible élastique où les torsions extrêmes et les déséquilibres allient poésie, émotion pure et performance. Déjouant les lois de la physique, le chorégraphe et ses six performeurs reconfigurent les anatomies pour extraire la danse et le cirque des mouvements codifiés.