Cette saison, Espaces Pluriels initie un parcours avec le chorégraphe Sylvain Huc. Tout au long de la saison, nous vous proposons de découvrir différentes pièces du chorégraphe dans une mise en portrait, sur le grand plateau du Foirail, dans l’intimité du Théâtre Saragosse ou en extérieur dans la ville. Autant d’occasions, de nourrir votre curiosité et de multiplier les rencontres.
Pièce de répertoire, création accompagnée en résidence et pièce participative, carte blanche se succèdent. Soyez attentifs et laissez-nous vous surprendre !
Depuis ses débuts en tant que chorégraphe, en 2010, Sylvain Huc fait du corps un infini terrain de jeu, questionnant les règles qu’on lui impose comme les infractions qu’il s’autorise. Outre l’aïkido qu’il pratique assidûment, il nourrit sa démarche d’influences diverses comme les musiques expérimentales, les arts visuels, le cinéma ou la littérature.
Après une formation universitaire en histoire et histoire de l’art, Sylvain Huc découvre la danse contemporaine. Il intègre alors la formation du cdc de Toulouse, en 2003, où il fait quelques rencontres marquantes (Mark Tompkins, Gisèle Vienne, Lloyd Newson parmi d’autres) qui nourrissent ses désirs artistiques.
Sa première création, Le Petit Chaperon Rouge, à destination du jeune public, pose les bases d’un travail chorégraphique singulier qui privilégie le corps, ses états, sa consistance, en interaction avec le son et la lumière.
Suivront Rotkäppchen, Kapput puis Boys don’t cry. Sujets (2018) et le solo, Lex, (2019) marquent le début de sa collaboration avec l’artiste Fabrice Planquette, le chorégraphe Jan Martens et la danseuse Mathilde Olivares. En 2026, il présentera avec elle sa dernière création La vie nouvelle.
A découvrir cette saison :
In Between (13 septembre),
Sujets (08 janvier),
La vie nouvelle (26 février).
Cette saison, Espaces Pluriels initie un parcours avec le chorégraphe Sylvain Huc. Tout au long de la saison, nous vous proposons de découvrir différentes pièces du chorégraphe dans une mise en portrait, sur le grand plateau du Foirail, dans l’intimité du Théâtre Saragosse ou en extérieur dans la ville. Autant d’occasions, de nourrir votre curiosité et de multiplier les rencontres.
Pièce de répertoire, création accompagnée en résidence et pièce participative, carte blanche se succèdent. Soyez attentifs et laissez-nous vous surprendre !
Depuis ses débuts en tant que chorégraphe, en 2010, Sylvain Huc fait du corps un infini terrain de jeu, questionnant les règles qu’on lui impose comme les infractions qu’il s’autorise. Outre l’aïkido qu’il pratique assidûment, il nourrit sa démarche d’influences diverses comme les musiques expérimentales, les arts visuels, le cinéma ou la littérature.
Après une formation universitaire en histoire et histoire de l’art, Sylvain Huc découvre la danse contemporaine. Il intègre alors la formation du cdc de Toulouse, en 2003, où il fait quelques rencontres marquantes (Mark Tompkins, Gisèle Vienne, Lloyd Newson parmi d’autres) qui nourrissent ses désirs artistiques.
Sa première création, Le Petit Chaperon Rouge, à destination du jeune public, pose les bases d’un travail chorégraphique singulier qui privilégie le corps, ses états, sa consistance, en interaction avec le son et la lumière.
Suivront Rotkäppchen, Kapput puis Boys don’t cry. Sujets (2018) et le solo, Lex, (2019) marquent le début de sa collaboration avec l’artiste Fabrice Planquette, le chorégraphe Jan Martens et la danseuse Mathilde Olivares. En 2026, il présentera avec elle sa dernière création La vie nouvelle.
A découvrir cette saison :
In Between (13 septembre),
Sujets (08 janvier),
La vie nouvelle (26 février).
