Marc Lacourt signe un duo dansé et dessiné qui invite à repenser le monde en décalant joyeusement les mots, les gestes et les regards. Dans ce big bang créatif orchestré par le chorégraphe, même les objets esquissent des pas de danse !
Cette pièce, née de la rencontre entre Delphine Perret, autrice-dessinatrice, et Marc Lacourt, chorégraphe-danseur malicieux, nous invite à un retour fantaisiste sur l’origine du monde. Et si l’arbre s’était appelé « poule » ? Sur leur aire de jeu, délimitée par un tableau noir et un simple tapis blanc, tout devient possible. Deux personnages s’amusent à construire d’autres mondes, invitant les plus jeunes à retrouver leur liberté de geste et de parole, leur spontanéité à rire de tout. Dans Pourquoi un arbre est une poule ?, la danse s’apparente à du bricolage, un agencement de séquences, d’espaces et de signes qui tient avec trois fois rien mais qui parle de l’humain. Entourés d’objets du quotidien un peu magiques, les deux artistes re-tricotent le sens des mots. Dans un chaos fait de dessins tracés à la craie sur les murs comme sur les parois d’une caverne, ils réinventent l’Histoire. Un grand débordement dadaïste où la danse devient dessin et vice versa.
Dans le cadre de la saison de l’Agora
Production MA Compagnie / Coproduction L’Étoile du nord – Scène conventionnée d’intérêt national art et création danse, L’échangeur – CDCN Hauts-de-France, La Manufacture CDCN Nouvelle-Aquitaine, Bordeaux • La Rochelle, THV – St Barthelemy d’Anjou, L’Orange Bleue – Eaubonne, réseau Escales / MA Compagnie bénéficie du soutien du Ministère de la Culture – DRAC Nouvelle - Aquitaine, de la Région Nouvelle-Aquitaine et de la Ville de Bordeaux / Marc Lacourt est artiste associé à L’échangeur – CDCN Hauts-de-France de 2022 à 2024, dans le cadre du dispositif soutenu par le Ministère de la Culture et au THV Théâtre de l’Hôtel de Ville de St Barthelemy d’Anjou.
Marc Lacourt signe un duo dansé et dessiné qui invite à repenser le monde en décalant joyeusement les mots, les gestes et les regards. Dans ce big bang créatif orchestré par le chorégraphe, même les objets esquissent des pas de danse !
Cette pièce, née de la rencontre entre Delphine Perret, autrice-dessinatrice, et Marc Lacourt, chorégraphe-danseur malicieux, nous invite à un retour fantaisiste sur l’origine du monde. Et si l’arbre s’était appelé « poule » ? Sur leur aire de jeu, délimitée par un tableau noir et un simple tapis blanc, tout devient possible. Deux personnages s’amusent à construire d’autres mondes, invitant les plus jeunes à retrouver leur liberté de geste et de parole, leur spontanéité à rire de tout. Dans Pourquoi un arbre est une poule ?, la danse s’apparente à du bricolage, un agencement de séquences, d’espaces et de signes qui tient avec trois fois rien mais qui parle de l’humain. Entourés d’objets du quotidien un peu magiques, les deux artistes re-tricotent le sens des mots. Dans un chaos fait de dessins tracés à la craie sur les murs comme sur les parois d’une caverne, ils réinventent l’Histoire. Un grand débordement dadaïste où la danse devient dessin et vice versa.
Chorégraphie Marc Lacourt / Collaboration Delphine Perret, Pauline Valentin / Distribution Marc Lacourt, Pauline Valentin, seconde distribution en cours / Régie Abigaël Dutertre ou Jennyfer Benard / Crédit photo Pierre Planchenault & Lionel Dupont
Delphine Perret
Diplômée de l’école Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg, Delphine Perret écrit et dessine pour l’édition depuis 2003. Elle a publié une quarantaine d’albums, principalement aux éditions Les Fourmis Rouges. Traduits dans dix langues, ses livres ont été récompensés notamment par le salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, le salon du livre de Genève, le prix Belge Libbylit, et l’association des librairies spécialisés jeunesse.
Son travail, souvent minimaliste, explore les rapports texte/image, la narration, l’efficacité du trait. Elle écrit également pour d’autres illustrateurs et sort parfois du livre pour réaliser des fresques murales, du dessin en direct, des lectures musicales.
Marc Lacourt
Marc Lacourt se prépare à une carrière professionnelle dans la pédagogie du sport (Licence STAPS – Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives). Son parcours chorégraphique se fortifie auprès des chorégraphes Toméo Vergès, Pierre-Johan Suc et Magali Pobel (Cie Androphyne) et Laurent Falgueiras.
Depuis 2012, il danse pour Ambra Senatore (interprète pour John et Un terzo, notamment) avec qui il poursuit une collaboration, co-écriture de Giro di Pista, en 2018, et Il nous faudrait un secrétaire (2020).
Parallèlement à son expérience de danseur, il aime intervenir dans de nombreux ateliers auprès des enfants et adolescents, en écoles primaires ou secondaires ainsi que dans des écoles d’art. En 2016, il crée sa première pièce à destination du jeune public Tiondeposicom, puis en 2019, La Serpillère de Monsieur Mutt.
Note d’intention
Quelle certitude a-t-on sur la construction du monde ? Comment ça marche ? Et le début c’était quoi, et comment ? Il était comment le monde avant qu’on l’appelle monde ?
Amusons-nous avec nos certitudes, imaginons d’autres solutions, les nôtres, même absurdes, pour l’ordre des choses. Pourvu qu’on fabrique ensemble et qu’’on s’amuse de l’instant où ça tombe et nous bouscule.
Nous voulons re-fabriquer ce moment où apparaît le plaisir d’une danse ou d’un tableau, cet instant de la bascule où les choses se construisent, avec des planches, un dessin, un tabouret, un carton… Parce que le monde est un grand théâtre que l’on apprend très tôt à regarder et à ordonner, amusons-nous à construire d’autres mondes. C’est ce que nous voulons partager avec les spectateurs.
MA Compagnie